3 questions à Philippe Oberson

Salut Philippe ! Chez Plates-Bandes, tu gères des mandats d’envergure de A à Z. Quel est ton secret pour une coordination réussie ?

J’ai la chance de travailler sur des mandats au long cours, dont certains sont reconduits annuellement. C’est par exemple le cas du challenge des Explorateurs de l’Énergie, vaste programme ludopédagogique mené par Romande Énergie. L’avantage des projets récurrents, c’est que l’on peut capitaliser sur les expériences passées afin d’ajuster les stratégies et de garantir une amélioration constante. Élaborer des plans d’action détaillés est essentiel, et pour assurer ce suivi rigoureux, les tableaux Excel se révèlent être de précieux alliés !

Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton quotidien de chef de projet en communication ?  

Pour moi, les moments grisants sont ceux où l’on se réunit entre nous pour discuter des mandats qui nous sont confiés et partager nos idées. C’est lorsque chaque pôle de compétences se met en marche que le projet commence réellement à prendre forme. Et bien sûr, il y a tous les événements que l’on aide à organiser. C’est dans ces moments-là que l’on voit le résultat, l’accueil et l’enthousiasme du public, ainsi que la satisfaction de nos clientes et clients. On se dit alors qu’on a accompli notre mission.

Tu es aussi le bassiste d’un groupe lausannois dont la renommée n’est plus à faire. Quelle influence ton expérience musicale a-t-elle sur ton travail ?  

Lorsqu’on monte un groupe de musique, on s’engage dans une aventure collective. On ne réfléchit plus en solo mais dans une dynamique de cocréation. Il en va de même dans mon travail, où la collaboration et le partage d’expertises sont primordiaux pour cultiver un environnement créatif en perpétuelle évolution.